@tazzouve : Pourquoi serrée alors qu’il avait beaucoup plus de value :
- quand la partie s’arrête, il reste dans la main de mon adversaire 9 cartes, moi 2. Je dis donc serrée en l’état puisqu’il n’a quasiment pas joué son dernier tour, se contentant de me tuer, sans jouer de cartes.
-il a fait tout au long de la partie de nombreuses erreurs grossières . Et d’ailleurs mon avantage sérieux dans la partie s’est retourné en 2 tours, uniquement par des cartes générées par le tissevoile Sethekk.
Donc je domine nettement, il génère des cartes qui retournent la situation. Je ne peux pas le finir, de peu. Sans la génération qui mélange RNG, cartes abusivement fortes et capacité d’adaptation considérable liée à la multiplicité des cartes, il ne gagnait pas, et de loin.
J’aurais de nombreux exemple de ce type contre les mages également (moins marqué chez les voleurs car les cartes sont moins décisives en général).
@jtaimepas :
je viens d’aller faire un tour sur HS pour repasser la value disponible dans quelques classes (mage, prêtre, guerrier, paladin, chasseur) : non seulement il y a un vrai décalage en nombre, mais surtout en puissance et en synergie : 1 exemple :
La carte « rénovation » du prêtre parait en soi tout à fait correcte : un effet bien sans être fou …et cette petite carte en plus qui change tout. Quand dans la réserve possible tu as résurrection de masse ou plaie de la mort, accessible « gratuitement » par un sort à 1, c’est TRÈS problématique à mon sens tant ces cartes sont absurdes de puissance en elles mêmes.
En guerre bon pour le moral est un carte à value, mais très médiocre en comparaison, et du coup pas jouée (donc en somme elle ne « compte » pas, dans les values véritablement disponible.
Surtout, au nom de quoi ces classes devraient elles/méritent-elles cet avantage de RNG dont les autres ne disposent pas ? (ou de manière médiocre). La value pourquoi pas, mais contrôlée en puissance et en RNG, car là est le problème. C’est clairement ce qui m’a fait abandonné le jeu un temps et est à la limite de recommencer.