Depuis qu’il a quitté les royaumes de la mort, Anduin Wrynn ne trouve pas le repos. En proie à des terreurs nocturnes et à d’horribles souvenirs, le jeune roi trouve enfin refuge dans un village de la vallée Chantorage où il cache son identité. Toutefois, en dépit de sa discrétion, Anduin ne saurait ignorer ni son passé ni ce qui l’anime.
Vraiment sympa !
Elle n’apporte rien à l’histoire en sois, mais ce petit développement de personnages passe bien !!
Ça fait plaisir ces petites nouvelles, cela apporte du contexte sur la vie des personnages en dehors des cinématiques et des combats.
Sylvanas après avoir été asservie par une entité maléfique : « nOuS sOmMeS lEs EsClAvEs De CeTtE sOuFfRaNcE, jE dOiS TuEr L’eSpOiR 
»
Anduin après avoir été asservi par une entité maléfique : « Je vais peut-être échouer, mais je dois aider et protéger les gens qui ont besoin de mon aide. 
»
Rodrick Feldon : « Nous avons peut-être vécu des choses horribles, mais il faut donner le meilleur de nous-mêmes pour les autres. »
Andion Wrynn qui prouve, une fois encore, qu’il est de très loin l’un des meilleurs personnages de la licence, et qui ridiculise complètement l’écriture désastreuse de Dragonflight tout en parlant des mêmes thèmes. Enfin un personnage avec des enjeux, enfin un personnage qui doute, enfin un personnage inspirant dont l’écriture n’est pas moralisatrice à souhait et auquel on peut s’identifier.
Le texte n’est certes pas parfait, mais largement au delà de tout ce qui a été fait ces dernières années ; c’est une honte que Christie Golden ait été licenciée.
Une nouvelle sympathique, ça fait plaisir de voir s’étoffer les futurs personnages principaux de TWW. C’est quelque chose qui m’avait manqué avec DF.
Ouais enfin, le parti pris qu’elle avait de dingue quand elle écrivait ET Anduin ET Sylvanas…
Parce qu’elle a quand même fait des trucs pas cools.
Bon, avec le recul, c’était peut-être dans les directives des scénaristes du jeu (un peu comme les réalisateurs qui gèrent (mal) les acteurs lors de certains films alors qu’ils sont connus pour être excellents (Oui, je parle de David Tennant dans HP et la coupe de feu qui est juste horrible alors que l’acteur est génial)
Comme tu le dis toi-même, la trajectoire de Sylvanas dans les extensions qui ont suivi était (à coup sûr) déjà décidée, bien avant que le livre qui faisait office de prologue à Battle for Azeroth ne sorte sans doute. Au moins deux ans.
Je comprends où tu veux en venir, mais je considère cela dit qu’il n’y a pas de parti pris. Ou plutôt : je considère qu’il n’y a pas de parti pris artistique, seulement un parti pris qui se développe invariablement, intellectuellement, lorsque tu dois lire (et écrire) une histoire sur deux personnages qui s’opposent de cette façon, c’est-à-dire :
Un premier personnage connu depuis toujours pour être bienveillant, diplomate, pacifiste, courageux, oblatif, rebelle, luttant depuis toujours avec un monde qui semble toujours devoir rejeter sa vision, luttant pour l’affirmer ; Anduin.
Et un second qui s’est défini de la façon suivante ensuite : haineux, cruel, instable, narcissique, égocentrique, égoïste, stupide, capricieux, manipulateur, borné (mais indécis), influençable, et j’en passe et des meilleurs… ; Sylvanas.
Anduin offre le meilleur de lui-même pour les autres, Sylvanas se vautre dans la malveillance la plus complaisante. Même son arc de " " « rédemption » " " est entamé par une impression purement égoïste de sa part, à savoir qu’elle ne veut pas servir (après l’avoir fait pendant des années btw 
).
Il ne faut pas en vouloir à Christie Golden pour ce que ces circonstances impliquent invariablement dans un récit ; il faut en vouloir à je ne sais qui d’avoir fait de Sylvanas l’un des personnages les plus haïssables que l’esprit puisse concevoir.
J’aime pas la nouvelle tronche de captain América d’Anduin, fallait que je dise ça quelque part 