ETUDIANT OU PSYCHOLOGE / Caractère / Personalité

Bonjour à vous mes petits rastaquouères .

Depuis quelque temps j’envisage de reprendre des études en psychologie et en me documentant et refesant l’histoire de Warcraft quelque points me taraudent .

Cinq personnages m’intrigue , il s’agit de :

  • Arthas Menethil *

  • Varian Wrynn

  • Anduin Wrynn

  • Uther Lightbringer *

  • Turalyon * ( sans nom )

*Pour ces personnages là nous avons que très peut d’information hormis dans les romans / jeux Warcraft .

Alors voilà , étudiant ou psychologue , voir autre quel est selon vous les traits de caractère de chacun des personnages cité plus haut ? Leur personnalité , ou leur profile psychologique ?

J’aimerais pas de ’ LOL Anduin c 1 kévin entr1 de chialé " mais de vrai argument . merci et à vos clavier :slight_smile:

Ah c’est dommage je trouve justement que c’est des personnages qui ont le plus de développement (niveau caractères et personnalité). Après en dehors de Warcraft ou veux tu avoir un développement de personnage ?

Arthas : la fin justifie les moyens
Varian : la férocité
Anduin : bonté, tolérance, pacifiste (difficile à vraiment le définir en fait)
Uther : la droiture
Turalyon : Le vétéran trop propre

Je vais citer quelques traits qui me viennent en tête. Il en manquera peut-être quelques uns. En revanche, je ne dirais rien sur Turalyon car étant donné que je n’ai lu aucun bouquin sur lui (à part Chroniques tome 2 mais ça ne rentre pas du tout dans les détails, ça donne des éléments d’histoire et basta), je trouve qu’il est lambda sans personnalité.

Dans le cas d’Arthas, ses traits de caractère durcissent le long de sa campagne humaine dans W3. Au début il est plutôt sympa avec les autres mais dès que le Fléau se ramène ça change. Je vais plutôt parler de ce deuxième moment et jusqu’à ce qu’il devienne le Roi-liche.

Arthas Menethil = Arrogant, Audacieux, Autoritaire, Belliqueux, Bourru, Brave, Buté, Pragmatique.

Pour Varian, même chose son personnage a évolué. En fait il faudrait différencier Varian à WOTLK et Varian à Légion pour bien faire. Mais comme je ne veux pas trop m’embêter non plus, je vais prendre les traits de chaque époque.

Varian Wrynn = Autoritaire, Brave, Protecteur, Aimant (avec les siens), Buté, Droit, Leader.

Anduin Wrynn = Manque de confiance en lui, Bon, Conciliant, Brave (il se balade seul en Pandarie quand même faut bien lui reconnaitre ce point), Idéaliste et donc un peu Naïf aussi, Curieux, Droit, Diplomate, Pacifique, etc etc… Il a plein de bon traits de caractère.

Uther = Justicier, Droit, Bon, etc etc… Bref c’est un Paladin.

Pour Arthas y’a moyen de dire beaucoup. Déjà : a Warcraft III ses désirs limite passionnel d’aider son peuple et d’être un bon roi viennent directement de son enfance.

Quand il était jeune il a été témoin de la vague de réfugiés venant de la destruction de Hurlevent. Il a eu quelque échanges avec Varian jeune (qui avait déjà a l’époque beaucoup de colère contre les orcs et triste de la mort de son père).

A son jeune age c’était assez marquant comme rencontre, sans parler qu’il est témoin très jeune de “l’importance d’être un roi” car la première chose qui le marque chez Varian c’est que malgré son jeune age il est roi, qu’il est seul, qu’il a tout perdu, et que les événements qui viennent d’arrivé sont visible sur lui. Arthas prend conscience de la guerre, et la comparaison entre sa situation et celle de Varian le remet humblement a sa place.

Il était meilleur guerrier que lui a l’époque, il le remarque tout de suite dans quelques passes d’arme avec des épées d’entrainement, et c’est d’ailleurs sa rencontre avec Varian qui le pousse a s’entraîner d’avantage par la suite et a faire plus d’effort : la fin de “l’enfance insouciante”.

A ça s’enchaîne le mariage forcé de sa sœur avec Prestor (avorté) qu’il apprend par sa sœur en pleur. Un autre point montrant bien les obligations qui viennent avec la fonction.

Pour son père et sa fonction de roi je ne vois que ça, après il le dit lui même que son père est juste et ne l’accable pas, c’est de lui même, et des exemples qu’il voit, que lui viennent sa motivation a être un bon roi. A la rigueur a l’époque il avait un début de curiosité naturelle pour les affaires royales, quoi qu’enfantine.
(par exemple il se cache dans la salle du conseil pour écouter aux portes.)

Après la mort d’Invincible, ou il prend vraiment conscience de la vie d’un de ses “sujets” et de ses responsabilité. Il est mort bêtement par la faute d’Arthas, et depuis il va avoir une espèce de complexe/motivation a faire le plus d’effort pour assumer ses responsabilité et les conséquences qu’elles peuvent avoir.

Tu peux aussi prendre en compte qu’il était très humble et proche du peuple (comme son père). Il faisait souvent la discussion avec les gardes sur les remparts (comme Falric, jeune a l’époque) et il allait voir les chevaux dans la ferme de Falnir (ils avaient un fils qui avait le même age que lui). ça c’est pour ses relations aux gens et au monde.

Niveau amoureux il rencontre bien Jaina et d’autre filles et est témoin des amours de sa sœur avec un serviteur, mais il est très détaché (comme un enfant quoi).

Pour son enfance c’est le plus important, avant c’est surtout des enfantillages, c’est surtout a ce moment la ou il commence a mûrir.

Après ça c’est des entraînements avec les paladins et les cours royaux.
Bon je vais pas tout dire car c’est surtout au passage de jeune homme a l’age adulte ou il se passe beaucoup de chose (mais qui découlent finalement de son enfance).

Une chose importante sur Arthas c’est les limites qu’il se donne. Finalement il reste distant même si il a de l’attachement. Justement pour éviter les problèmes, il garde sur lui.

Comme sa relation avec Jaina, ou le fait qu’une fois au service de Ner’zhul il garde Falric avec lui en mort vivant (qui était a l’époque qu’un garde quand Arthas était jeune.) Invincible c’est pareil, le pendentif de Jaina aussi.

Moralité le plus gros du personnage c’est :
-Le poids de ses obligations qui pèsent sur lui (petit clin d’oeil quand il tue son père, parlant du poids de la couronne qu’il ne va plus avoir a porté)
-La peur de l’échec et de la perte (perte de son peuple, perte de Jaina, perte d’Invincible. Bref perte de proche).
-Une moralité et des principes qu’il s’impose comme la lumière, la bonté et la justice. Surtout avec des exemples d’hommes forts comme Faol, Uther (nous nous ravalerons nous même au rang des orcs !) ou son père (qui a fait preuve de pitié et d’humanité avec les orcs par exemple, même si beaucoup étaient contre. Il a sut faire preuve de principe malgré tout. Il a également sut tendre la main a Hurlevent, malgré la distance entre les états a l’époque).
-Et finalement la fouge de la jeunesse (malheureusement pour lui pas au bon moment.)

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C’était super intéressant à lire :slightly_smiling_face:

Je suis sûr qu’il y a d’autres choses à dire.

Comme par exemple pour moi, l’épuration de Stratholme représente un choix qu’il a du faire sur les deux rôles qu’il incarne.

  • En tant que Paladin, il doit faire le choix de ne pas massacrer les infectés et tenter de les guérir. Mais cela au risque que cela ne fonctionne pas et que toute la population de Stratholme transformée en mort-vivants inflige encore plus de dégâts au royaume voir le détruit carrément.

  • En tant que Prince, il doit prendre ses responsabilités et avorter le danger imminent, même si c’est un choix terrible. Comme il le dit :“Un petit sacrifice pour le bien commun.”

Résultat, il aura pris ses responsabilités de Prince. Même s’il a du oublier ses principes de Paladin pour cela.

Bon je vais pas refaire un pavé, mais pour Varian c’est la colère. Comme je le dis avant il a eu la perte de Hurlevent et le meurtre de son père par Garona (devant lui d’ailleurs, l’affectant tout sa vie après).

Quand il rencontre Garona a Theramore pendant un conseil, il est furieux et cherche a la tuer. Anduin l’empêche et la il dit bien “Cette femme a tuée ton grand père !”. Ici ça crève les yeux que c’est d’avantage pour lui qu’il dit ça, Anduin n’ayant aucun souvenir de Llane. Meme adulte la mort de son père reste quelque chose de fort pour lui.

Comme il n’avait pas moyen de fuir il a contre balancé avec de la colère pour tenir son rôle de roi (Je me suis battu, toute ma vie).

Du coup il a dut grandir très vite, et le premier changement de caractère adoucissant ça c’était son mariage avec Tiffin et la naissance d’Anduin (ici petit clin d’oeil a Lothar. Il donne son nom a son fils pour son soutient durant la Première guerre. ça montre qu’il en reste affecté meme adulte). D’ailleurs c’est pour lui un retour de la notion de famille.

Après la mort de sa femme c’est un choc, et comme elle était le début de “tendresse” depuis son enfance, il perd sa “béquille” et fait une redescende brutal. Revenant directement a la dureté de la vie, il fait un dépression.

Bref après ça tu as des épisodes ou il garde donc beaucoup de colère en lui qu’il contrôle mal. Meme en privé il s’énerve rapidement contre son fils et n’arrivent pas a discuté. Il est terre a terre quand son fils est idéaliste, et pour lui a l’époque s’endurcir est primordial car la vie n’est pas facile, et il faut y faire face. (Renforçant c’est incompréhension par l’absence de figure paternelle).

Bref par la suite il change et tempère sa colère (notamment a cause de la capture de son fils a Forgefer, ses blessure a MOP avec la cloche, l’attaque du Cauchemar etc etc). Et la le personne a toujours une fureur en lui MAIS elle ne le domine plus, et il prend conscience que la paix est possible.

C’est d’ailleurs en parti pour ça qu’il est en si bon terme avec Genn. Le contrôle de la fureux, la perte d’un proche, les responsabilités de roi, le fait qu’ils se connaissaient déjà de loin.

Et la paf il meurt au sommet de son développement, comme un bon roi et un bon père.

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Bon après oui y’a même « trop » a dire, c’est pour ça que je parle surtout de l’enfance. C’est cool c’est un bon personnage qui a vraiment eu un développement et une évolution. Blibli a bien réussi a prendre l’histoire d’Elric pour Arthas.

Mais non, j’assurais sa sécurité! Ok, j’ai un peu merdé à la cloche…
Plus sérieusement, je ne sais pas si c’est plus de l’insouciance/témérité que de la bravoure ou un désir de montrer qu’il n’est plus qu’un enfant, une soif d’indépendance (un ado rebelle, ce Anduin!), enfin, sans doute un peu mélange de tout ça avec son côté idéaliste.

Tu as sans doute raison. C’est juste que je n’ai pas pensé à ce terme à ce moment ah ah.

Je te conseil la chaîne Youtube de Sam Vostok qui parle du Lore et des histoires de ces personnages.

Arthas est sûrement l’un des personnages le plus complet sur WoW et l’un de
mes préférés. En voulant bien faire, il passe la frontière de l’acceptable jusqu’à faire des choses horribles mais qui sont nécessaires au moment où il le fait pour le bien de son peuple. C’est une très belle analogie des horreurs de la guerre.

Les Wrynn pour moi sont des personnages de comics que Blizzard a absolument voulu mettre comme des stars de WoW mais que je trouvent absolument abjectes dans leurs développement. Surtout Varian que je trouve insupportable au plus haut point dans toutes ses apparitions. Anduin est cool mais c’est vraiment le personnage caricatural du gentil héros principal.
Vide d’intérêt.

Uther je l’adore. Je trouve pas qu’il y ai besoin de le développer d’avantage. Il a une ligne directrice simple et il l’a suit. C’est un personnage cohérent et ça fait du bien.

Pour Turalyon, il est aveuglé de par sa foi, et les événements de Légion ainsi que les livres audio par bli² le prouvent bien.
Sa croyance passe avant le reste et ça en devient un problème. La naaru sur le vaisseau a su montrer que la lumière peut se révéler aussi extrémiste que son opposé et ne fait nul cadeaux a ceux qui ne suivront pas la voie qu’elle montre.

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C’est quoi un/une psychologe ?

(pas pu m’empêcher, pardon)

T’as déjà été au théâtre?
Bah c’est comme une loge normale, la où les comédiens se préparent, sauf que c’est une pièce dans un asile avec des Psychopathes dans tout les rôles

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Rien de plus que mon salon, somme toute.

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Ta question étrange est posée sur un étrange ton.

Arthas Menethil, Uther et Turalyon sont des Paladins de Lordaeron.

Arthas se détourne de la Lumière, tandis qu’Uther meurt pour elle. Quant à Turalyion, sa dévotion à la Lumière ne fait aucun doute. Mais son histoire n’est pas terminée.

Varian et Anduin Wrynn sont de Stormwind.

Le premier est un guerrier, le second, un prêtre. De Varian, on peut dire qu’il a fait honneur à sa classe. De plus, sa mort, comme celle d’Uther, résulte d’un sacrifice consenti de sa vie, au profit de celle des autres. Pour ce qui est d’Anduin, il semble doué en soins. Son histoire continue, comme celle de Turalyon.

Un trio et un duo. Des frères d’armes unis par la foi ; des membres d’une dynastie, unis par le sang. Et tu voudrais que la “psychologie” s’applique à eux ? Quelle “psychologie” ?

Remarque, c’est pas ta faute.

Franchement… Comment peut-on prendre au sérieux un récit où une Elfe plurimillénaire, grande prêtresse d’Elune, gardienne de la paix d’Ashenvale, bêle “Malfurion, mon amour !” à tout va pendant toute une suite de quêtes (Légion) ?

Et puis… Le destin d’Uther et le destin de Varyan sont épiques. Celui d’Arthas est tragique. (Les deux autres, on sait pas encore.) Le mélange des genres est un art délicat.

Que Blizzard aurait pu pratiquer. Mais ils sont dans le business du divertissement, pas dans l’art. Le jeu n’est qu’un “produit”. Les livres ne sont que des “produits dérivés”.

MMO, d’accord.

RPG ? HA !

Arthas : Le sociopathe narcissique
Varian : Le caractériel impulsif
Anduin : Le frustré qui vit dans l’ombre du père.
Uther : Le psychorigide
Turalyon : Le soumis

Je rajouterais des points pour uther et turalyon tiré des romans

Uther était un chevalier a la base mais très pieux, le modèle de chevalier croisé a la limite du fanatisme, c’est d’ailleurs pour cela que ce ne fut pas lui, mais turalyon qui fut pris comme second par lothar.

En effet la “piété” d’uthers était un peu trop extrême pour le troupier de base. Il fut par contre nommée chef de la main d’argent et c’etait un bourrin complet sur le champs de bataille.

On vois qu’avec arthas il ce radoucie un peu sur l’extrémisme et deviens une seconde figure paternel.

Pour Turalyon, a la base c’est plutôt un prêtre emplit de doute, mais compétent et brillant. Il fut pris sur la tutelle de lothar en temps que second et “intermédiaire” avec la main d’argent avec qui il noue une relation de mentor-élève.
Ces doutes sur la lumière proviennent du questionnement récurrent “mais pourquoi?”, en effet il ne comprend pas pourquoi la lumière “laisse” les orcs venir détruire son peuple.
A la mort de lothar, il prend le commandement en ralliant l’armée en sa mémoire. Il finira par purger ses doutes envers la lumière quand il constatera que les orcs souffre face a elle (a cause de leur corruption démoniaque), il en déduira qu’ils ne sont pas “”""“humains”""" (on va dire aimé de la lumière), que ce sont des créatures démoniaque et qu’il ne mérite que la purge. (ce qui explique son gain de fanatisme par la suite)
Il fera quand meme tout un chemin avec alléria qui elle a sombré dans la vengeance a l’excès envers les orcs a cause de leur action en quel’thalas et de la mort de son petit frère. Prônant la miséricorde et le pardon apres avoir vue les effet des camps sur les orcs.

Remarque, c’est pas ta faute.

Franchement… Comment peut-on prendre au sérieux un récit où une Elfe plurimillénaire, grande prêtresse d’Elune, gardienne de la paix d’Ashenvale, bêle “Malfurion, mon amour !” à tout va pendant toute une suite de quêtes (Légion) ?

C’est pas ta faute non plus , je vais t’expliquer , même dans une œuvre fictif il y a construction de personnage , chaque personnage à une identité bien à lui nourri par une histoire que l’on connait ou non , et oui on peut analysé psychologiquement une oeuvre , un tableau ou une pièce de théâtre , un personnage fictif ,

’ Et tu voudrais que la “psychologie” s’applique à eux ? Quelle “psychologie” ? ’

J’admire ta simplicité d’esprit , au moins quand tu visite un musé tu semble ne pas perdre de temps à réfléchir au Pourquoi et au ’ quesque que l’auteur à voulu nous dire à travers ça ( le prend pas mal hein )

L’identité est le but sont deux choses différentes, même si elles sont étroitement liée. L’identité d’une création artistique est plus dû a son style, la façon dont a elle été réalisée. Son but va être le message que l’artiste a essayer de faire passer à travers elle.
Le problème avec les artistes contemporain c’est que beaucoup se pensent artiste mais ne le sont pas, ils voient dans des « visions » artistique leurs propre regards sur ce qu’ils portent sur les choses. Une oeuvre doit pouvoir parler a tout le monde, c’est ce qui en fera sa plus grande force, la puissance d’une oeuvre est plus dû au message compris non pas par un petit panel de personnes mais par le plus grand nombre qu’elle aura « touché ».

Enfin ce n’est là qu’un avis personnel de l’art.

Pour ce qui est des personnages de wow, leurs psychologies n’est pas aussi poussé que des personnages de roman, théâtre, cinéma etc.
Leurs traits de caractère, histoires, se complète au fur et a mesure de l’avancée du jeu, et ce malgré leurs âges bien avancés pour certains, c’est car de notre point de vue de joueur nous ne les connaissons pas sous cet aspect, que cela peut nous paraître bien différent.

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