Pour Arthas y’a moyen de dire beaucoup. Déjà : a Warcraft III ses désirs limite passionnel d’aider son peuple et d’être un bon roi viennent directement de son enfance.
Quand il était jeune il a été témoin de la vague de réfugiés venant de la destruction de Hurlevent. Il a eu quelque échanges avec Varian jeune (qui avait déjà a l’époque beaucoup de colère contre les orcs et triste de la mort de son père).
A son jeune age c’était assez marquant comme rencontre, sans parler qu’il est témoin très jeune de “l’importance d’être un roi” car la première chose qui le marque chez Varian c’est que malgré son jeune age il est roi, qu’il est seul, qu’il a tout perdu, et que les événements qui viennent d’arrivé sont visible sur lui. Arthas prend conscience de la guerre, et la comparaison entre sa situation et celle de Varian le remet humblement a sa place.
Il était meilleur guerrier que lui a l’époque, il le remarque tout de suite dans quelques passes d’arme avec des épées d’entrainement, et c’est d’ailleurs sa rencontre avec Varian qui le pousse a s’entraîner d’avantage par la suite et a faire plus d’effort : la fin de “l’enfance insouciante”.
A ça s’enchaîne le mariage forcé de sa sœur avec Prestor (avorté) qu’il apprend par sa sœur en pleur. Un autre point montrant bien les obligations qui viennent avec la fonction.
Pour son père et sa fonction de roi je ne vois que ça, après il le dit lui même que son père est juste et ne l’accable pas, c’est de lui même, et des exemples qu’il voit, que lui viennent sa motivation a être un bon roi. A la rigueur a l’époque il avait un début de curiosité naturelle pour les affaires royales, quoi qu’enfantine.
(par exemple il se cache dans la salle du conseil pour écouter aux portes.)
Après la mort d’Invincible, ou il prend vraiment conscience de la vie d’un de ses “sujets” et de ses responsabilité. Il est mort bêtement par la faute d’Arthas, et depuis il va avoir une espèce de complexe/motivation a faire le plus d’effort pour assumer ses responsabilité et les conséquences qu’elles peuvent avoir.
Tu peux aussi prendre en compte qu’il était très humble et proche du peuple (comme son père). Il faisait souvent la discussion avec les gardes sur les remparts (comme Falric, jeune a l’époque) et il allait voir les chevaux dans la ferme de Falnir (ils avaient un fils qui avait le même age que lui). ça c’est pour ses relations aux gens et au monde.
Niveau amoureux il rencontre bien Jaina et d’autre filles et est témoin des amours de sa sœur avec un serviteur, mais il est très détaché (comme un enfant quoi).
Pour son enfance c’est le plus important, avant c’est surtout des enfantillages, c’est surtout a ce moment la ou il commence a mûrir.
Après ça c’est des entraînements avec les paladins et les cours royaux.
Bon je vais pas tout dire car c’est surtout au passage de jeune homme a l’age adulte ou il se passe beaucoup de chose (mais qui découlent finalement de son enfance).
Une chose importante sur Arthas c’est les limites qu’il se donne. Finalement il reste distant même si il a de l’attachement. Justement pour éviter les problèmes, il garde sur lui.
Comme sa relation avec Jaina, ou le fait qu’une fois au service de Ner’zhul il garde Falric avec lui en mort vivant (qui était a l’époque qu’un garde quand Arthas était jeune.) Invincible c’est pareil, le pendentif de Jaina aussi.
Moralité le plus gros du personnage c’est :
-Le poids de ses obligations qui pèsent sur lui (petit clin d’oeil quand il tue son père, parlant du poids de la couronne qu’il ne va plus avoir a porté)
-La peur de l’échec et de la perte (perte de son peuple, perte de Jaina, perte d’Invincible. Bref perte de proche).
-Une moralité et des principes qu’il s’impose comme la lumière, la bonté et la justice. Surtout avec des exemples d’hommes forts comme Faol, Uther (nous nous ravalerons nous même au rang des orcs !) ou son père (qui a fait preuve de pitié et d’humanité avec les orcs par exemple, même si beaucoup étaient contre. Il a sut faire preuve de principe malgré tout. Il a également sut tendre la main a Hurlevent, malgré la distance entre les états a l’époque).
-Et finalement la fouge de la jeunesse (malheureusement pour lui pas au bon moment.)