/cast manipulation mentale sous aura de sainteté depuis son invisibilité
Ah mince! J'ai remonté ce sujet!
Ah mince! J'ai fait deux faute ><
.
mrc g du mal avek sa
"Leur gm est connu pour jouer survie sans utiliser flèche noire"
noub 0,01 kwa
noub 0,01 kwa
25/11/2015 12:46Publié par Ðräk"Leur gm est connu pour jouer survie sans utiliser flèche noire"
noub 0,01 kwa
Ca suffit les citations hors contexte.
25/11/2015 19:22Publié par Ðräk24/11/2015 22:06Publié par OrthNoub
ta fé 1 fot
Ca suffit à force de rester ici tu vas te faire choper. Il est temps de dt, fd et courir, monsieur.
http://www.noelshack.com/2015-48-1448539006-10a1a3a11.png
nn mé voila qwa
nn mé voila qwa
Mialye était arrivée tôt dans la matinée au rez-de-chaussée de la tour de Morteveille, accompagnée de l'imposant félin au regard bleu profond qui la suivait partout.
Elle affectionnait tout particulièrement la quiétude de l'aube qui régnait au centre de la grande salle, au pied des escaliers.
Elle avait fermé les yeux et avait même commencé à se laisser porter par ses songes lorsqu'un fracas aussi soudain qu'assourdissant lui avait fait ouvrir les yeux à regret. Ses iris pâles et ses pupilles opalines ne reflétaient qu'une pâle lueur là où brillait d'habitude la luminescence caractéristique du visage des kaldorei.
L'elfe posa une main sur l'échine de son familier en alerte, frôlant à peine sa fourrure en se levant de sa chaise pour tourner la tête en direction de l'origine du bruit.
Là où elle fixait un pan de mur, une voix familière apporta les réponses à ses questionnements.
« Ca va, ça va j'te dis ! C'est encore cette marche décalée qui m'a fait trébucher. »
L'animal au chevet de Mialye tourna brusquement la tête vers le second arrivant avant même que ce dernier n'ait eu le temps de répondre. Une voix plus grave mais d'une jeune personne se fit entendre.
« T'es sûr que c'est pas juste parce t'es incapable de prendre le temps de faire attention ? »
La première voix grommela dans ce qui devait probablement être une barbe épaisse en se relevant dans un cliquètement métallique prononcé, qui laissa ensuite la place au silence lorsque les deux individus remarquèrent la chasseresse et son compagnon.
L'homme qui avait chu leva la main vers la femme qui se tenait devant lui avant de remarquer à qui il s'adressait, se ravisant rapidement d'achever son salut inutile.
« Oh ... Bonjour Mialye. On ne faisait que passer, on va en ville pour réapprovisionner le stock d'alcool, tu veux venir ? »
Elle répondit par un sourire poli où perçait un brin d'embarras.
« Non, merci. Naïlo n'aime pas beaucoup aller là-bas. »
« Comme tu veux, à tout à l'heure alors ! »
Et sans attendre, ils empruntèrent tous les deux le couloir qui menait à la sortie.
Mialye attendit que le bruit de leurs pas se soit tu avant de se détourner pour reprendre place sur le siège de bois qui attendait son retour derrière elle.
Elle passa sa main sur la joue du félin en se penchant vers lui avant de prononcer dans un murmure :
« Moi non plus, je n'aime pas beaucoup aller là-bas. »
Suite de quoi elle se mit à sourire simplement en posant ses mains sur ses genoux, les paupières à nouveau closes en ne laissant plus entendre dans la tour que la respiration paisible de Naïlo, couché à côté d'elle.
« Peut-être qu'on sera bien ici finalement» se laissa-t-elle penser.
Elle affectionnait tout particulièrement la quiétude de l'aube qui régnait au centre de la grande salle, au pied des escaliers.
Elle avait fermé les yeux et avait même commencé à se laisser porter par ses songes lorsqu'un fracas aussi soudain qu'assourdissant lui avait fait ouvrir les yeux à regret. Ses iris pâles et ses pupilles opalines ne reflétaient qu'une pâle lueur là où brillait d'habitude la luminescence caractéristique du visage des kaldorei.
L'elfe posa une main sur l'échine de son familier en alerte, frôlant à peine sa fourrure en se levant de sa chaise pour tourner la tête en direction de l'origine du bruit.
Là où elle fixait un pan de mur, une voix familière apporta les réponses à ses questionnements.
« Ca va, ça va j'te dis ! C'est encore cette marche décalée qui m'a fait trébucher. »
L'animal au chevet de Mialye tourna brusquement la tête vers le second arrivant avant même que ce dernier n'ait eu le temps de répondre. Une voix plus grave mais d'une jeune personne se fit entendre.
« T'es sûr que c'est pas juste parce t'es incapable de prendre le temps de faire attention ? »
La première voix grommela dans ce qui devait probablement être une barbe épaisse en se relevant dans un cliquètement métallique prononcé, qui laissa ensuite la place au silence lorsque les deux individus remarquèrent la chasseresse et son compagnon.
L'homme qui avait chu leva la main vers la femme qui se tenait devant lui avant de remarquer à qui il s'adressait, se ravisant rapidement d'achever son salut inutile.
« Oh ... Bonjour Mialye. On ne faisait que passer, on va en ville pour réapprovisionner le stock d'alcool, tu veux venir ? »
Elle répondit par un sourire poli où perçait un brin d'embarras.
« Non, merci. Naïlo n'aime pas beaucoup aller là-bas. »
« Comme tu veux, à tout à l'heure alors ! »
Et sans attendre, ils empruntèrent tous les deux le couloir qui menait à la sortie.
Mialye attendit que le bruit de leurs pas se soit tu avant de se détourner pour reprendre place sur le siège de bois qui attendait son retour derrière elle.
Elle passa sa main sur la joue du félin en se penchant vers lui avant de prononcer dans un murmure :
« Moi non plus, je n'aime pas beaucoup aller là-bas. »
Suite de quoi elle se mit à sourire simplement en posant ses mains sur ses genoux, les paupières à nouveau closes en ne laissant plus entendre dans la tour que la respiration paisible de Naïlo, couché à côté d'elle.
« Peut-être qu'on sera bien ici finalement» se laissa-t-elle penser.
Trop bas, trop bas!
Up!
<Clou une affiche dans Hurlevent>
***
Sinon je cherche cette personne. Si vous savez où la trouvez merci de contacter le gars qu'a mis c't'affiche!
merssi enkor
Up!
<Clou une affiche dans Hurlevent>
***
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merssi enkor
Up pour notre poste de recrutement ! :)
Tout récemment, on raconte qu'Epsilon a recruté en plus grand nombre que d'ordinaire, et avec des critères différents. Au sein même de la Marche de l'Ouest, l'organisation serait allée trouver de nouvelles recrues parmi les vagabonds, les accueillant pour les remettre sur pied et les former. Une rumeur confirmée par la présence de tentes, tout autour de la tour de Morteveille. Les gens vont et viennent, prennent leurs marques et, depuis peu, il n'est pas rare de les voir s'entrainer ensemble, avec des armes factices. Aussi l'ambiance est-elle à la camaraderie, pour l'heure.
~~~~~~~~~~
Le soleil se levait tout juste, venant faire scintiller le gel cristallin sur les brins d'herbe orangés de la Marche de l'Ouest. Il était rare que Myra se donne la peine de se déplacer à la tour dès le matin, à moins d'avoir une urgence. Mais pour cette fois, les circonstances étaient particulières. Aux abords du bâtiment, elle mit pied à terre et attacha Signe, son cheval, à l'une des barrières de bois. Elle prit le temps de le gratifier d'une caresse sur l'encolure, avant d'enfouir ses mains dans les poches de son manteau noir, dont le tissu était trop fin pour qu'il la réchauffe complètement. Elle fit quelques pas, avant de s'immobiliser pour attarder son regard sur l'animation, tout autour de Morteveille.
La plupart des tentes étaient déjà vides, chacun s'activant pour achever les installations secondaires. Des mannequins de fortune avaient été disposés ça-et-là, faits de bois et de sacs de toile remplis de foin. Venant s'ajouter au cadre de l'entrainement, des cibles étaient improvisées, suspendues dans les arbres voisins, jusque dans les pierres de la tour. En dépit d'un certain désordre, une harmonie parfaite s'affichait dans le regard de Myra, qui ne pouvait y voir qu'un succès. Un adolescent la bouscula, une épée en bois dans les mains. C'était Jason, blondinet à l'énergie inépuisable et le plus jeune parmi les nouvelles recrues, mais non des moindres si l'on se fiait à son enthousiasme pour Epsilon. Il se retourna, affichant un air penaud.
« - Oh, pardon m'dame. J'étais pressé !
- Ce n'est rien, souffla-t-elle avec un sourire en coin.
Du menton, elle lui indiqua de poursuivre sa route, ce qu'il s'empressa de faire. Il se plaça devant une femme, dont les cheveux noirs étaient attachés par une lanière de cuir. Cette dernière se mit en garde, ayant elle-même une fausse épée dans les mains.
- Allez, Sandra ! M'épargne pas, hein, faut que j'leur en mette plein la vue quand y'aura l'vrai entrainement !
Il n'en fallait pas plus pour lui faire engager les hostilités. Elle se courba et abattit son arme factice sur l'adolescent à plusieurs reprises, ne lui laissant aucune répit. S'en suivirent quelques passes, les deux adversaires circulant entre les tentes, provoquant des rires et des plaintes chez les autres recrues. Myra les suivit du regard, jusqu'à ce qu'ils disparaissent derrière la tour, ne laissant plus deviner leur duel que par leurs éclats de voix.
Elle était lucide et ne se faisait pas d'illusion, tout ne serait pas toujours aussi calme. Il y aurait quelques tensions, peut-être même des rivalités. Des comportements qui seraient parfaitement explicables, après des années de vie dans la misère et avec la loi du plus fort pour tout règlement. Néanmoins, Epsilon saurait les remettre dans le « droit chemin », comme on se plaisait à le nommer. Alors qu'elle vaquait à ses pensées, elle s'aperçut qu'une recrue boitait du pied gauche. Elle mit un nom sur cette information, presque aussitôt. Ashila, une femme plus âgée qu'elle d'une dizaine d'années, au bas mot, de longs cheveux châtains et cette expression qui exprime le vécu, en permanence. Sa froideur ne facilitait pas les échanges, mais son cynisme avait le mérite d'être drôle, la plupart du temps. Myra attendit qu'elle prenne le temps de s'asseoir pour s'approcher, calmement.
- Nous étions d'accord, Ashila. Des soins dès votre arrivée.
- Oui, je sais. Mais je ne vais pas déranger le monde, on m'héberge, on me nourrit... c'est plus qu'il n'en faut.
- T-t-t. Hors de question.
La prêtresse s'agenouilla, commençant à relever le pantalon d'Ashila, à la jambe gauche. Par chance, la plaie n'était pas infectée mais elle devait être douloureuse, en revanche. La concernée détourna le regard, expirant doucement.
- Ben faut pas vous gêner, hein.
- Exactement, sinon, vous ne me laisserez jamais faire.
Sur ces mots, Myra entama les soins, plaçant sa main droite non-gantée à proximité de la blessure. Un filet de Lumière continu quitta sa paume, refermant lentement la plaie mais avec précision. Ashila se décontracta quelque peu, ses yeux se promenant sur son interlocutrice.
- Pourquoi vous faites ça, d'abord ? C'est vrai, vous pourriez... recruter à Hurlevent, des endroits plus indiqués.
- Nous le faisons déjà, à vrai dire. Et dans beaucoup de cas, ce sont les recrues qui viennent à nous. Mais si nous pouvons changer des vies, peut-être même les sauver, tout en gagnant des soldats... c'est une bonne chose, vous ne trouvez pas ?
- Mh. Elle se renfrogna, avec une once de perplexité. 'Pas tout le monde qui ferait ça.
- Ahin. Je pourrais dire que nous le devons à notre Commandant, et à sa générosité... mais je crois qu'en vérité, c'est un état d'esprit propre à Epsilon. Même si j'aime à penser que tout le monde en ferait autant, j'ai conscience que notre organisation est différente.
Un léger sourire se dessina sur les lèvres de Myra, alors qu'elle interrompait le lien de Lumière. Il ne restait plus qu'un trait enflé, barrant la jambe. Elle rabattit le pantalon avec précautions, avant de se redresser. Elle se confronta au même regard froid, s'en amusant plutôt que de s'en offusquer.
- Vous devriez faire attention, la générosité, ça n'fait pas survivre. »
Myra hocha la tête avec un peu plus de gravité, ayant pleinement conscience de ce qu'elle venait d'entendre. La conversation s'acheva sur des politesses, puis elle revint sur ses pas pour s'asseoir près de l'entrée de Morteveille, sur les marches du petit escalier. Elle savait qu'Ashila était reconnaissante, ce n'était simplement pas le genre de personne à prononcer le mot adéquat. La rosée commençait à disparaître sous les faibles rayons du soleil, abandonnant la nature pour ne la retrouver que le lendemain, avec la même ponctualité. La prêtresse joignit ses mains sur ses jambes, optant pour la contemplation durant les minutes qui suivirent. De cette façon, elle avait le sentiment d'entrevoir un morceau d'avenir, témoin discret au milieu de tout cela. Elle ne put s'empêcher d'éprouver de la reconnaissance, pour Epsilon qu'elle considérait, au-delà d'une armée, comme des gens de Bien.
~~~~~~~~~~
Le soleil se levait tout juste, venant faire scintiller le gel cristallin sur les brins d'herbe orangés de la Marche de l'Ouest. Il était rare que Myra se donne la peine de se déplacer à la tour dès le matin, à moins d'avoir une urgence. Mais pour cette fois, les circonstances étaient particulières. Aux abords du bâtiment, elle mit pied à terre et attacha Signe, son cheval, à l'une des barrières de bois. Elle prit le temps de le gratifier d'une caresse sur l'encolure, avant d'enfouir ses mains dans les poches de son manteau noir, dont le tissu était trop fin pour qu'il la réchauffe complètement. Elle fit quelques pas, avant de s'immobiliser pour attarder son regard sur l'animation, tout autour de Morteveille.
La plupart des tentes étaient déjà vides, chacun s'activant pour achever les installations secondaires. Des mannequins de fortune avaient été disposés ça-et-là, faits de bois et de sacs de toile remplis de foin. Venant s'ajouter au cadre de l'entrainement, des cibles étaient improvisées, suspendues dans les arbres voisins, jusque dans les pierres de la tour. En dépit d'un certain désordre, une harmonie parfaite s'affichait dans le regard de Myra, qui ne pouvait y voir qu'un succès. Un adolescent la bouscula, une épée en bois dans les mains. C'était Jason, blondinet à l'énergie inépuisable et le plus jeune parmi les nouvelles recrues, mais non des moindres si l'on se fiait à son enthousiasme pour Epsilon. Il se retourna, affichant un air penaud.
« - Oh, pardon m'dame. J'étais pressé !
- Ce n'est rien, souffla-t-elle avec un sourire en coin.
Du menton, elle lui indiqua de poursuivre sa route, ce qu'il s'empressa de faire. Il se plaça devant une femme, dont les cheveux noirs étaient attachés par une lanière de cuir. Cette dernière se mit en garde, ayant elle-même une fausse épée dans les mains.
- Allez, Sandra ! M'épargne pas, hein, faut que j'leur en mette plein la vue quand y'aura l'vrai entrainement !
Il n'en fallait pas plus pour lui faire engager les hostilités. Elle se courba et abattit son arme factice sur l'adolescent à plusieurs reprises, ne lui laissant aucune répit. S'en suivirent quelques passes, les deux adversaires circulant entre les tentes, provoquant des rires et des plaintes chez les autres recrues. Myra les suivit du regard, jusqu'à ce qu'ils disparaissent derrière la tour, ne laissant plus deviner leur duel que par leurs éclats de voix.
Elle était lucide et ne se faisait pas d'illusion, tout ne serait pas toujours aussi calme. Il y aurait quelques tensions, peut-être même des rivalités. Des comportements qui seraient parfaitement explicables, après des années de vie dans la misère et avec la loi du plus fort pour tout règlement. Néanmoins, Epsilon saurait les remettre dans le « droit chemin », comme on se plaisait à le nommer. Alors qu'elle vaquait à ses pensées, elle s'aperçut qu'une recrue boitait du pied gauche. Elle mit un nom sur cette information, presque aussitôt. Ashila, une femme plus âgée qu'elle d'une dizaine d'années, au bas mot, de longs cheveux châtains et cette expression qui exprime le vécu, en permanence. Sa froideur ne facilitait pas les échanges, mais son cynisme avait le mérite d'être drôle, la plupart du temps. Myra attendit qu'elle prenne le temps de s'asseoir pour s'approcher, calmement.
- Nous étions d'accord, Ashila. Des soins dès votre arrivée.
- Oui, je sais. Mais je ne vais pas déranger le monde, on m'héberge, on me nourrit... c'est plus qu'il n'en faut.
- T-t-t. Hors de question.
La prêtresse s'agenouilla, commençant à relever le pantalon d'Ashila, à la jambe gauche. Par chance, la plaie n'était pas infectée mais elle devait être douloureuse, en revanche. La concernée détourna le regard, expirant doucement.
- Ben faut pas vous gêner, hein.
- Exactement, sinon, vous ne me laisserez jamais faire.
Sur ces mots, Myra entama les soins, plaçant sa main droite non-gantée à proximité de la blessure. Un filet de Lumière continu quitta sa paume, refermant lentement la plaie mais avec précision. Ashila se décontracta quelque peu, ses yeux se promenant sur son interlocutrice.
- Pourquoi vous faites ça, d'abord ? C'est vrai, vous pourriez... recruter à Hurlevent, des endroits plus indiqués.
- Nous le faisons déjà, à vrai dire. Et dans beaucoup de cas, ce sont les recrues qui viennent à nous. Mais si nous pouvons changer des vies, peut-être même les sauver, tout en gagnant des soldats... c'est une bonne chose, vous ne trouvez pas ?
- Mh. Elle se renfrogna, avec une once de perplexité. 'Pas tout le monde qui ferait ça.
- Ahin. Je pourrais dire que nous le devons à notre Commandant, et à sa générosité... mais je crois qu'en vérité, c'est un état d'esprit propre à Epsilon. Même si j'aime à penser que tout le monde en ferait autant, j'ai conscience que notre organisation est différente.
Un léger sourire se dessina sur les lèvres de Myra, alors qu'elle interrompait le lien de Lumière. Il ne restait plus qu'un trait enflé, barrant la jambe. Elle rabattit le pantalon avec précautions, avant de se redresser. Elle se confronta au même regard froid, s'en amusant plutôt que de s'en offusquer.
- Vous devriez faire attention, la générosité, ça n'fait pas survivre. »
Myra hocha la tête avec un peu plus de gravité, ayant pleinement conscience de ce qu'elle venait d'entendre. La conversation s'acheva sur des politesses, puis elle revint sur ses pas pour s'asseoir près de l'entrée de Morteveille, sur les marches du petit escalier. Elle savait qu'Ashila était reconnaissante, ce n'était simplement pas le genre de personne à prononcer le mot adéquat. La rosée commençait à disparaître sous les faibles rayons du soleil, abandonnant la nature pour ne la retrouver que le lendemain, avec la même ponctualité. La prêtresse joignit ses mains sur ses jambes, optant pour la contemplation durant les minutes qui suivirent. De cette façon, elle avait le sentiment d'entrevoir un morceau d'avenir, témoin discret au milieu de tout cela. Elle ne put s'empêcher d'éprouver de la reconnaissance, pour Epsilon qu'elle considérait, au-delà d'une armée, comme des gens de Bien.
<Replace l'affiche>
Je recherche encore cette personne sincère!
Je recherche encore cette personne sincère!
Up non dissimulé, namého !
Celui qui n'a jamais été seul... Eh bah c'est tant mieux pour lui.
Sinon pour pas être seul, v'là une guilde qu'elle est bien ! On offre un collier de fleurs à qui saura raison garder.
Sinon pour pas être seul, v'là une guilde qu'elle est bien ! On offre un collier de fleurs à qui saura raison garder.
Rock it out, Team A!
Joyeux Noel a tous !
Bonne année tout le monde !
On remonte en haut de la page!