Super avatar ! Que se passe t-il ici?
il se passe de la bière et des filles de joies
C’est fini ce temps tazzouve !
« Il se passe des êtres de genres différents, voire indéterminés, éclairé-e-s de leur libre arbitre et consentement, quant aux mœurs qu’iels adoptent les un-e-s envers les autres, y compris dans la consommation de boissons alcoolisées, qui je le rappelle, sont à consommer avec modération, et celui/celle qui conduit est celui/celle qui ne boit pas.
Le tout en respectant les gestes barrières et les règles sanitaires en vigueur ».
Compris ?
Attend tu exclues les 58 autres genres en disant ça !
Alors tes vraiment de l’ancien temps mon cher monos on en compte plus d’une centaine aujourd’hui
Coucou
158.3 au dernier recensement qui date de ce matin 9H 47mn 51sec de l’heure d’Ibiza …
Selon les syndicats ou selon la police ? Ça va, ils vont bien les marseillais ? Bon, j’ai besoin de thèmes pour écrire. Des idées ? Vu que Monos fait pas son boulot…
Petit Chat qui ne fait pas sont boulot ôO
appelle le Petit Chat
" Viens voir La Deesse mon Petit Chat, Elle a deux mots à te dire…"
Sinon pour ton thème cher Ragetaurus, que penses-tu de l’égoïsme grandissant dans la société moderne ? Reflet de l’éducation sociétale ou est-ce intrinsèquement ancré dans notre « nature humaine » ?
Dans le fond, quand on parle « d’égoïsme », on pose un jugement moral sur l’individualisme. En fait, ça rejoint l’adage : « un égoïste, c’est quelqu’un qui ne pense pas à moi ».
Du coup, je pense qu’une personne qui fustige les égoïstes, est un individualiste qui s’ignore.
Je garde ça dans un coin de tête
Remplace par individualisme car c’était le mot juste.
Note : comme quoi, à l’écrit, chaque mot a son importance et est source d’interprétation.
Coucou
Citation Deesse
comme quoi, à l’écrit, chaque mot a son importance et est source d’interprétation.
A l’oral, à l’écrit les mots on leurs importances mais presque autant que celui (celle) qui les dit.
Pour répondre à ta question … Pour moi l’humain nait bon est compatissant dans sa majorité. C’est l’environnement qui change et ou accentue sa nature profonde.
60 genre c’est beaucoup .
dans l’article que j’avais lu a ce propos , il y avais un bloubilbouga avec le see et l’orientation seuel pour obtenir ces 60 genres .
d’ailleurs il ne fessais pas la différenciation entre orientation romantique et sexuel
Il fait beau et chaud… Les pieds en éventail, La Deesse vous souhaite un bel été !
Et hâte de découvrir le mode mercenaire !
bonjour madame la déesse .
Madame la Déesse s’il te plait !
Dis donc vous entrez dans la taverne sans présenter votre pass sanitaire
Coucou
Pas besoin de pass ici … la bière d’ici est un désinfectant naturel, universel parce qu’ici la chopevide
Qu’il est loin le temps où cet auberge était le coeur du forum où il faisait bon s’y installer à une table, papoter tout en se désaltérant avec une bonne chope de cervoise.
Pensée émue pour un temps révolu.
A Providence on se rencontre, on se parle et on élabore.
A Providence on rit, on se chamaille, on se rabiboche.
A Providence, on argumente, on joue, on gère.
A Providence, est est « communauté ».
Dehors, c’est le chaos. Et des règles partout.
Dehors, on se chamaille sans s’écouter, on invective sans penser.
Dehors on veut tout cacher, tout censurer.
Dehors veut le « great of good ».
A Providence on s’auto gère, mais ça ne suffit pas.
Dehors s’invite maintenant dedans.
A Providence tout s’uniformise. Les touristes affluent. Et créent la Discord.
Dehors est plus que jamais dedans.
A Providence, on joue un peu Dehors, mais le froid du Dehors est cinglant.
Les autochtones sont partis, les touristes se retirent.
Dehors recouvre tout de son voile blanc.
A Providence, le silence est presque total.
Dehors est glacial, Providence a vécu. Providence est vaincue.
Quelque part dehors, quelques âmes égarées, portent en leur cœur, le doux souvenir de Providence.
L’essence de la nostalgie, mesdames, messieurs : le souvenir joyeux, mêlé de regret amer. « La nostalgie, c’est le bonheur d’être triste », disait Victor Hugo. Mais vous savez quoi ? Je suis Providence, et en nos cœurs résident nos citadelles perdues.
Et comme dirait Van Damme : « Et ça c’est beau ! »
Coucou,
dur dur de consommer une cervoise quand les gérants de la taverne nous surveille (impossible de poster une image !!!)
C’est un plaisir de vous voir ici tout de même