Bon, je me suis amusé à pondre un truc durant la journée, comme ça l’ami Tourouk pourra jouer aussi !
But : trouver les noms des héros d’Overwatch. Ils y sont tous (enfin je crois, à moins d’en avoir zappé un), avec leur nom en version française. Pareil que dans les textes de Tourouk, ils peuvent se cacher n’importe où, sans tenir compte des espaces, des retours à la ligne ou de l’orthographe.
Certains sont un peu tirés par les cheveux, j’en conçois, mais bon, on va voir si vous arriverez à les trouver tous.
Voici donc le texte :
"Trois personnes discutent dans un bar. Il y a René, le barman, Auguste, et Lisa.
Voici un extrait de leur conversation :
- Hé ! Ressers-moi un peu de ce jus de castor bio, René !
- Tu bois un peu trop, Lisa, dis !
- Va t’faire cuire un oeuf, avec tes conseils !
René verse à Lisa un verre de gnôle. La buveuse s’offusque :
- Non mais hé, René, t’as perdu la boule ? Doser une si petite quantité ! Remplis-moi ce verre !
- Si c’est encore pour que tu t’casses la figure dans l’étang… J’ai donné, merci !
- Z’avez lu les nouvelles locales ? demande Auguste.
“M. Gérard Aubry, propriétaire de l’auberge “Aubry, gîte et couvert”, a reçu le dernier rapport d’hygiène de son établissement et, après l’avoir lu, s’y oppose.” - Aubry ? demande Lisa. - Ce pâle type qui a peur de tout ? Peur du chaud, peur du froid, mais y se prend pour qui ?
- Oui, c’est bien ça, répond René. - Ce type qui, même quand on le guide, même quand on le pose sur des rails, n’articule pas un mot correct !
- Pfff, renchérit Auguste, cet Aubry, ce n’est qu’un individu sot et fat.
- Radin, avec ça ! Et c’est un gros flemmard, même pas envie de travailler ! Moi j’vous dis, le jour où y s’y mettra, y va neiger en août !
Lisa rit :
- Avec lui, pas de risque ! Il préférera faire son cinéma, crier partout qu’on lui a arraché son bras !
- Ah, ch’uis sûr qu’il va finir en taule, le lascar ! Et en zone haute sécurité, qui plus est !
- Paraît qu’il a déjà frappé des gens dans la rue ! C’est pas l’dernier pour une bonne bastion !
- Arrêtez donc vos ouins-ouins, tonne Auguste ! Il est pas si mauvais que ça, le père Aubry !
- Tu parles, répond René. - Son auberge, je ne la conseillerais ni à un chimpanzé, ni à ta soeur !
- Tiens, en parlant de soeur, voilà celle de Lisa !
- Entrez, soeur de Lisa, s’écrie le barman !
- Ah, vous êtes bien bon, mon cher René ! En plus, je viens de faire d’excellents achats !
- Calamité, crie Lisa ! - Tu as encore dépensé tout l’argent de papa !
- Allons, p’tite soeur, j’ai juste acheté un sofa !
- T’as la dépense facile, ma parole ! La dernière fois, c’était 76 saules d’Afrique !
- 75 seulement ! Et puis arrête de me regarder comme ça ! D’où me fixes-tu ainsi ?
- J’en ai marre, si ça continue, on va encore se retrouvé fauch… !
- …Euh… Restons calmes, voulez-vous ? les interompt René.
- Pas ma faute, grommelle la soeur. - C’est à cause de cette rombière qui, pour de moindres maux, ira pleurnicher à gauche et à droite !
- Pfeuh ! Tu dis toujours que c’est ma faute. Or, y s’avère que tu es toute aussi fautive que moi !
Auguste se met en colère :
- Décidément, c’est toujours la même rengaine ! J’y mets ma main à couper, que bientôt vous allez vous mettre sur la figure !
- Ah non, pas dans mon troquet, râle René. - Allez, filez donc régler ça sur une partie d’Overwatch !"