Histoire écrite

Bien le bonjour joueurs de la communauté !
Je post sur ce forum aujourd’hui afin de vous proposer une histoire de mon cru, cela fait un moment que je la tourne et retourne dans ma tête, et je me dit qu’il est temps de la posé « sur le papier ».

Elle n’a aucune vocation à être canon, les personnages traverse l’Histoire de Warcraft en vivant la leurs, je respecte autant que possible les événements sans les changer, tout en me laissant une marge d’invention.

De plus, j’aime écrire, mais je ne suis pas un professionnel de l’orthographe, je ferais le moins de fautes possible, et prendrais le temps de me corriger, mais si vous voyez une faute, n’hésitez pas à me la signaler, la qualité de l’histoire ne pourra être que meilleur.

En vous remerciant, je me lance !

Pendant la fin du Cataclysme
Comté de l’or, Elwynn, l’auberge de la Fierté du Lion

Le feu crépitait nonchalamment dans l’âtre de la cheminée alors que la fin de l’après-midi approchais, les rayons du soleil filtrait à travers les fenêtres jaunie de l’auberge, l’emplissant d’une douce lumière orange-doré, à travers lesquels ont pouvais voir les particules en suspension.
C’était le début du printemps, un vent léger soufflait à travers les arbres de la forêt, et bien que l’on pouvais sentir la terre ce réchauffer grâce aux rayons du soleil, le fond de l’air était encore frais.

Reiwyn fixais d’un regard vide le contenu de sa chope, de la bière brune, et s’hypnotisais des légers reflets ambré du liquide.
L’auberge était encore calme a cette heure, on pouvais entendre le bruit de quelques couverts qui s’entrechoquait, et les de quelques autres clients qui chuchotait, comme craignant de brisée la sérénité du moment en parlant trop fort.
Tout dans ses pensées, Reiwyn ne vit pas venir le tavernier qui lui posa une lourde main sur l’épaule, et il sortit brusquement de sa rêverie.

« Encore dans les nuages, mon garçon ? » *Il lui fit un sourire malicieux *
L’homme était grand, taillé comme une armoire, d’un léger embonpoint néanmoins, le tein mat, il portait une tunique en lin, jaunie par endroit, et un bandeau nouais ses cheveux en un chignon défait.

Reiwyn lui rendit un petit sourire « Oui, il semble. » Il ne pus retenir un petit rire, s’amusant de la facilité qu’avais le tavernier à le surprendre

Puis il reposa son regard sur le liquide.

Le tavernier vint s’asseoir à sa table, juste en face de lui

Alors… Commença t’il en se laissant tomber sur sa chaise, soufflant la lassitude d’une longue journée Qu’est ce que nôtre paladin du cru raconte, aujourd’hui ?

Il sourit à l’insinuation Reiwyn avais en effet grandit pendant une petite partie de son enfance dans cette auberge, et aider les propriétaires dans leurs tâches quotidienne, en échange de quelques piécettes, il ce souvenais encore de la plaie qui consistait à nettoyer les assiettes des morceaux de nourritures incrustée dans le bois, et de certains clients récalcitrant qui avais manquer de peu de le réduire en miettes, à plusieurs reprises.

Mais son sourire disparu vite, les nouvelles n’était pas bonnes, il repensa a ce qui l’attendais et retrouva son sérieux.

« Nous allons dans les Paluns, il semble que les Sombrefers ais fait encore des leurs, Les Nains on besoin d’aide au viaduc de Thandole » Et plus au nord encore, il y avais la guerre acharné qui ce déroulait toujours en Arathie, et le combat contre les Réprouvés…

Ceux-ci avais redoublé de violence ces derniers temps, car en plus de la conquête de Gilnéas et de l’ouverture du nouveau front, les Réprouvés s’était emparés de nombreux territoires plus au nord, grâce à des méthodes que l’on disais plutôt… peu orthodoxe.
Aile de mort avais était vaincu, mais Garrosh avais dévasté une bonne partie d’Orneval et des Terres des Elfes de la Nuit… La guerre faisais rage, et le roi Varian Wrynn ne comptait pas laisser ces affronts impunie, le Cataclysme avais laisser des traces…

« Nous pouvons au moins compter sur nos nouveaux alliés… » Pensa t’il.

Il jetta un coup d’œil à un Worgen qui riait à pleine dents.
Ils était terrifiant, mais farouche et incroyablement efficace au combat, Ils c’était révélés des amis et alliés de valeurs et en faisait bavé aux troupes de Sylvanas. Des images de corps déchiquetés s’imposèrent dans l’esprit de Reiwyn, les combats contre les Morts-vivant, la peste, les cadavres par centaines… "Terrifiant… "

« Reiwyn ! »
Il sursautât et sortie aussitôt de ses pensées, posant un regard ahuris sur le tavernier.
« Navré. » *Il s’efforça de revenir au moment présent, et appela la Lumière à venir l’envelopper, à peine y avais t’il penser qu’elle vint tout de suite à lui, en une sensation de réconfort et de chaleur qui l’empli tout entier.

« J’attend des amis, nous devons partir ensemble demain à la première heure. »

« Bien. » Lui répondit le colosse en ce levant.
Il partit en cuisine sans un mot, Reiwyn craignais de l’avoir involontairement blessé.
Il revint quelques secondes plus tard, un plateau de viande de sanglier, de pommes de terres et de pain, et une nouvelle chope de bière en mains, et déposât le tout sur la table.

« Mais je n’ai pas comm… »
« Cadeau de la maison. » le coupa ce dernier.

Il déposât à nouveau sa main sur son épaule, mais de manière plus douce cette fois.
« Profite de ce moment de paix. » lui lança t’il.
« Il y a une chambre libre la haut avec deux lits, il devrais y avoir de la place pour trois. » Ils échangèrent momentanément un regard profond, ceux que l’on échange avec seulement ceux qui savent.

Reiwyn hochât la tête en signe de gratitude, et après un sourire et une dernière petite bourrade, le tavernier s’en fût à ses obligations.

Quelques heures plus tard.

Le soir était tombé sur la Forêt d’Elwynn, le soleil déclinais et ne laissais à l’horizon qui mince ligne orangé dans le ciel bleu, le crépuscule touchais à sa fin.

L’air à l’extérieur était nettement plus frais, et le vent avais forcis, amenant des nuages d’orage qui ne tarderais certainement pas à ce faire entendre.

L’auberge était maintenant a son heure de pointe, le feu flambais avec force dans l’âtre, les clients riait et chantais, buvais et ce bousculais, le personnel ne cessait de faire des aller et retours pour assurer le service, et il y eu même quelques départs de bagarres, bien vite calmé cependant.
Dans l’ensemble, l’ambiance était joyeuse et festive.

Soudain, un barouf tonitruant ce fit entendre à l’extérieur, un galop rapide, trop rapide… suivie d’un claquement et d’une percussion sonore, on pouvais entendre les volailles s’affoler en tous sens et les gens lancer des exclamations, puis des protestations.
Le bêlement d’un bélier et les vociférations furieuse de ce qui semblais être un nain…
Le silence ce fit entièrement dans la taverne.

Puis, après un moment de silence, des craquements ce firent entendre sur le palier, provoquer par de lourdes bottes en plaque ciselé, l’auteur du scandale fit son entrée et chacun s’attardais à le regarder.
Sur le plancher, détrempé, s’attardais un nain qui visiblement était échauffé.
Sous sa capuche en cuire trempé, on pouvais distingué son gros nez et sa barbe fourni, noir comme les plumes d’un corbeau.

Imposant, pour un nain… il n’avais pourtant pas fière allure, bien que son armure en plaque lui donnais une stature de guerrier, sa barbe et son manteau détrempé, allié a son expression renfrogner lui donnais un air de chien mouillé, il fixa l’assemblé du regard un moment, puis, en s’exclama:

« Par ma barbe ! Z’avez jamais vu d’nains ou quoi ? »

Tous retournèrent à leurs occupations comme si de rien n’était, et les discussions reprirent.

Reiwyn tenta d’étouffer un rire tant bien que mal, et malgré tous ses efforts, le nain l’aperçu.

D’un air contrarié, il descendit du plancher pour ce retrouver sur les pavés, ce qui eux pour effet de le rendre encore plus petit, et’ s’avança d’un pas décidé vers lui.

le nain tapât de la main sur la table.
« Alors gamin, on s’amuse des bonne gens en difficulté hein ? »
Il déposa, sa hache à deux mains contre le mur, une arme magnifique, ciselé et marquer aux armoiries de Forgefer, puis vint s’asseoir en face de lui, à la place qu’avais occupé auparavant le tavernier, Reiwyn croisa les mains sous son menton et retrouva son calme et son sérieux, tous deux ce regardèrent droit dans les yeux.

Créos releva sa capuche et dévoila des cheveux aussi noir que sa barbe, dont une partie était relevé en une couette de cheval, un visage bourru et tanné par le soleil, des yeux vert profond d’où émanais une étincelle de férocité acquise vraisemblablement après de nombreux combat, une légère cicatrice barrais son œil droit depuis son front jusque sur sa joue, manquant sans doute de peu le perdre.

"Aubergiste ! Cria le nain, Une brune bien fraiche, et d’la viande cuite dans d’la bière ! "
Tout en continuant de fixer l’humain en face sans sourciller.

« Alors, humain, serait-ce de mon apparence dont tu ris ? »

Ce changement d’élocution et de vocabulaire était aussi soudain qu’inattendu, il n’avais même plus l’accent si caractéristique de sa race.

« Comment ne pas rire devant une allure si décrépite. » lui répondit Reiwyn sans ce laisser démonter.

« C’n’est pas moi qui suis glabre comme les fesses d’un murloc ! » rétorqua Créos

« Glabre peut-être, mais sec, et mes pieds à moi, touchent le sol quand je suis assis, de plus… »

Créos haussa un sourcil broussailleux

« Tu empeste le bélier mouillé. »

« Ha ! Certes je ne m’attend pas de la part d’un citadin aux fesses roses qu’il sache trempée les mains dans la boue ! »

Reiwyn pris un air étonné.

"Chacun trempe dans ce qui lui correspond le plus. " rétorqua t’il calmement.

Créos sauta sur sa chaise, posa ces poings sur la table et se pencha en avant, de façon à s’approcher le plus possible de son visage, plongea dans ses yeux bleus et lui lança un regard acéré.
*Reiwyn se leva, de façon a le dominer par sa taille, claqua ses mains sur la table et affronta son regard sans siller

"Qu’est ce que t’insinue, pisse-froid ? "

  • « Que tu ne vaux pas mieux que la boue sous mes bottes, pourceau ! »
  • " Gougnafier !"
    -" Maraud !"
  • « Paltoquet ! »
    -« Pignouf ! »

La tension, palpable, menaçais d’éclater à tout instant, aucun des deux rivaux ne semblais vouloir lâcher prise, l’affrontement semblais inévitable.

« Et si je jouais un peu de ma hache, pour voir si tu souris toujours quand j’aurais ramassé tes dents, pleutre ? » Lança Créos avec une expression farouche

« Il faudrait déjà que tu puisse l’atteindre, demi-portion ! » Répliqua Reiwyn.

Créos ouvris de grands yeux étonné, et chercha sa hache des yeux, il l’a trouva sur une étagère, juste à coté, ou l’avais déposé le tavernier pour ne pas qu’elle gêne le passage, à taille humaine, si bien qu’il ne pouvais pas l’atteindre.

*Il s’attarda un moment sur ce fait, ne sachant comment réagir, puis revins sur Reiwyn, observant un silence contrit *

Le silence c’était fait dans toute la grande salle, chacun voulais savoir comment tout cela aller finir, seul le tavernier semblais ne pas ce soucier de la situation pourtant enflammé qui ce déroulais a quelques pas de lui.

Plongeant leurs regard l’un dans l’autre comme autant de lames acérés, le silence s’étendit…

Créos et Reiwyn éclatèrent de rire et se serrèrent l’avant bras.
Echangeant de chaleureuse salutations.

Les discussion reprirent, non sans un certain malaise, l’ambiance redevins vite joyeuse et festive.

Créos s’installa confortablement sur sa chaise, imité par Reiwyn.
« Je suis heureux de te revoir. » Fini par dire ce dernier.
"Moi aussi, gamin, moi aussi, nous avons beaucoup a nous dire, mais d’abord, la bière ! "
Ils trinquèrent à leurs retrouvailles, et burent leurs chope d’une traite, avant de les claquer sur la table.

Le tavernier s’empressa d’emmener de nouvelles chopes, les posant sur la table, et déclara à l’attention de Créos: « Bienvenue à la Fierté du Lion, l’ami. »

4 mentions « J’aime »

Vraiment pas mal comme début ! J’adhère :slight_smile:
Tu compte faire une suite ? :slight_smile:

Oui je pense faire une suite, je l’ai déjà en tête, il suffit juste de la poser sur le papier :page_facing_up::wink:

1 mention « J’aime »

J’adore j’adhère !
Rien de mieux que d’écrire nos petites aventures imaginées, tu m’as donné envie de reprendre la mienne tient.

En tout cas j’attend la suite évacue impatience

1 mention « J’aime »