De façon surprenante, il lui a falllu un simple mensonge pour que le Roi-singe le devienne. En fait, à l’époque sans avoir de statut particulier sur son peuple, il a affirmé être le Roi-Singe à tous et à prétendu que tous les chefs de clan était derrière lui et le soutenait. Du coup, le peuple hozen osait pas le contester pour pas affronter leur chef de clan … Et vice versa, les chefs de clan n’ont pas voulu affronter leurs sujets … Du coup, bah le mensonge du Roi-singe est devenu vérité de facto. Les chefs de clan n’en ayant entendu parler qu’à partir du moment où tout le peuple l’appelait ainsi.
Il reçut Fu Zan (Arme Moine Tank de Légion) de la part du Yu’lon, le Serpent de Jade qui avait promis de trouver un porteur digne pour le bâton. Cependant au vu du caractère des Hozens, elle pensait au départ qu’aucun d’entre eux ne serait digne du bâton. Puis, finalement elle changea d’avis et finalement enfin … Le Roi-Singe lui paru digne.
Il était l’ami de Shaohao, dernier Empereur de Pandarie et possesseur du bâton du Moine Heal à Légion. (Sheilun je crois ?)
Après la disparition de Shaohao, de nombreuses personnes voulu récupérer le pouvoir de la Pandarie. Dont des mogus etc … Des tyrans en herbes quoi. A l’époque, il parcourait la Pandarie et leur racontait des bobards sur des artéfacts qui leur aurait facilités leurs objectifs. Et du coup les menait à la mort (tomber de falaises / embuscades pandashans … ce genre de choses). Un jour, il mena un mogu, le seigneur de guerre de jade, dans une vieille tombe. Celui-ci découvrit malheureusement une cache de connaissances rédigées par le roi-tonnerre en personne. Il aurait pu ainsi découvrir un pouvoir terrifiant … Etant le seul à pouvoir avoir une chance de l’arrêter était le Roi-Singe, il s’aventura donc dans la tombe pour l’affronter. Leur duel dura des heures … Le mogu lança un sort, mais incapable de contrôler ses nouveaux pouvoirs, celui-ci tourna mal … Et les deux adversaires furent figés dans le jade pendant 10 000 ans. Tout en restant capables de communiquer.
Héros des pionniers, les païens me craignaient,
Quand bien même le trépas leur soit familier.
Ami des bêtes, mon art s’est prolongé.
Pisteur du bois, son Cœur est mon allié.
Par le feu et la pécule, soyez châtiés !
Dans le sang et la glace, disparaissez !
Ce n’est pas lui non plus, mais je pense que certains passages méritent une petite reformulation.
Héros des pionniers, les païens me craignaient,
Quand bien même le trépas leur soit familier.
Ami des bêtes, mon art s’est prolongé.
Seigneur dans le bois, son Cœur est mon allié.
Par le feu et l’argent, soyez châtiés !
Dans le sang et la neige, disparaissez !