Coucou
C’est amusant de voir qu’une fois de plus, on peut dire des choses identiques ou du moins assez similaire pour être classé comme tel.
Tu dis :
" Dans le fond, ce que j’essaye de mettre en lumière, c’est une forme d’hypocrisie. La vie est précieuse ? La notre peut-être, mais pas celle des autres alors… Regardons bien autour ; supportons-nous nos voisins ? N’avons-nous pas un parent placé en mouroir ? Faisons-nous tous les jours quelque chose pour quelqu’un ? Militons-nous contre la peine de mort ? Accueillons-nous des « migrants » ? Protégeons-nous la vie, d’une quelconque manière que ce soit ? Je ne crois pas. "
J’ai dit :
" Les coupains et les coupines, profitez de la vie dans le respect d’autrui afin de vieillir avec le moins de regret d’avoir fait plutôt que de ne pas avoir fait. "
Tu dis :
" Le fait est que nous répondons instantanément avec des reliquats de croyance et de morale, mêlés à des éléments de construction « modernes » basés sur l’égocentrisme, la compétition, et la mise à distance drastique de tout ce qui nous est inconfortable. C’est la recherche de satisfaction immédiate, et non le respect de la vie qui nous guide. "
J’ai dit :
" J’aime la vie parce que j’aime regarder l’herbe pousser autant que baffer les kékés. "
Tu dis :
" L’Homme est une entité absurde. A ce titre, je considère que je ne vaux rien, mais que ce qui m’a fait, ce qui vous a fait, vaut tout.
Votre vie à tous vaut tout à mes yeux, même si je ne suis pas certain d’aimer ce que nous sommes. "
Je réponds :
Hors spiritisme comme divinité ou qui de l’œuf et ou de la poule … C’est l’humain qui crée l’humain, tout comme chaque espèce vivante crée sa descendance. C’est la règle naturelle universelle.
L’homme a créé une chose qu’on appelle une société avec ses codes. Je ne parle pas du code manichéen qui est un autre débat
Pour que l’humanité perdure il faut que l’humain en groupe doive survivre. L’individualité n’étant que le plus pour que ce groupe, sous-groupes, sous sous groupe, etc. soit cohérente. On / tu peux faire abstraction de ça si tu le souhaite mais une fois de plus, on ne peut nier sa nécessité. Pour s’adapter il n’y a pas besoin de conscience ou d’individualité. Les insectes y arrivent très bien mais l’humain à ce plus qui fait toute la différence : une conscience.
Détruit le rêve d’un homme et tu le tueras aussi surement qu’une balle.