Je sais pas, en quoi la masse de débiles qu’on trouve aussi bien sur le net que dehors doit décider si t’as le droit de sortir de chez toi/stream/fréquenter les RS ?
C’est pareil.
Wé là ça devient nawak.
Bientôt va falloir enfermer dans une boite les gens sensibles et laisser la vie aux « vrais ».
Mais à quel moment je dis que c’est à la masse de décider de qui a « le droit » de faire telle ou telle chose ?
Arrête avec tes hommes de pailles.
Je trouve que la même logique s’applique.
Là je conçois totalement que c’est différent, y’a un passif.
J’ai eu du mal avec ça moi, maintenant quand ça arrive je fais basculer la personne direct dans la catégorie random afin de ne pas avoir de gestion à faire, je me déleste totalement du problème, amis / collègues / mates / connaissances c’est le même tarif, même en étant contraint d’être en contact quotidiennement avec.
C’est le mot du jour sur ton calendrier ?
Réfléchis deux secondes peut être ? Exemple :
Je suis sensible, si je me prends des insultes/me fait harceller, je peut très mal le prendre et faire une bêtise > je ne vais pas sur internet/dehors.
Bah c’est les potentiels agresseurs qui ont pesé plus lourd que ma liberté, indirectement c’est eux qui choisissent qui est en droit de fréquenter les même lieux qu’eux.
C’est normal ? Non.
Maintenant si t’as toujours pas compris, tu cherches tout seul.
C’est moche de voir que pour certaines personnes il est ‹ normal › qu’internet soit un lieu rempli de requins.
On ne devrait PAS avoir à accepter ça comme un état allant de soi.
Bah on peut trouver ça révoltant, c’est mon cas aussi hein, mais après tu proposes quoi ?
Justement, ne pas laisser passer ce genre de comportement et même si ça peut en faire grincer des dents certains le non-anonymat serait un bon début.
Bon déjà, mélange pas le fait d’aller dehors (irl) le fait d’aller s’afficher sur internet (donc potentiellement à beaucoup plus de monde).
Encore une fois, non, ce ne sont pas eux qui décide de quoi que ce soit. Si Jean-Michel veut fréquenter un lieu toxique, il le peut, il faut juste qu’il assume derrière.
(Qu’il assume qu’une partie de débile va venir l’emmerder)
Ne cherchez pas les gens qui s’amusent à cela sont souvent des personnes plus faible que la personne harcelé, en infériorité intellectuelle qui affirment leurs « domination » en réduisant la personne concerné à l’état de plus petit qu’eux, et ce peu importe leurs carrures.
Un harceleur c’est bien souvent le type qui a peur de la personne qu’il harcèle alors il va s’amuser a l’humilier de toute les façons jusqu’à le pousser a bout pour montrer aux autres qu’il avait raison.
C’est intéressant, mais est-ce possible techniquement?
Et on fait ça comment ?
Qu’est-ce que j’en sais? Je n’ai pas les connaissances techniques pour y répondre.
Mais ce n’est certainement pas impossible.
Merci de ta participation
Tu peux déjà le faire sur certaines plateformes on va dire, après ça va changer quoi ?
1500000 singes en groupes qui harcèle une personne, tu vas les punir comment ?
C’est vraiment une question? 1 ou 1500000 ça reste condamnable pénalement.
On applique la punition sous quelles lois ? Les 150000 singes ne proviennent tous pas du même pays.
Je n’arrive plus à retrouver l’article et le pays ( pas en France c’est sur 
) ,mais dans une affaire de cyber harcèlement qui avait pris de l’ampleur avec un groupe de singe on Avait retrouvé et affiche en panneau publicitaire la photo des harceleurs dans toute la ville avec leur «attaques en bulle juste à côté de leur face »
Avec écrit en bas de la pancarte « ne vous croyez pas tout permis on peut toujours vous retrouver sur le net » un truc dans le genre
L’anonymat sur internet il est surtout « apparent » plus que réel. A moins de s’en donner les moyens (et ça demande certains efforts) t’es pas anonyme du tout.
Donc on ne fait rien, on laisse couler, internet reste une zone de non droit?
Bien entendu que TOUT est à inventer de ce côté là, faut juste le faire à un moment donné et cesser de faire l’autruche.
Je parlais de sanction pénale, mais j’vois bien le truc.
Internet est plutôt un monde de tout-droits.