Concernant les Tarides, j’ai en premier lieu particulièrement aimé la superficie de cette zone et le fait qu’elle nous accompagne sur tant de niveaux (son découpage à Cata fait partie des plus gros ratés je trouve).
Elle est riche en quêtes et surtout en quêtes « cachées », il y en a même une que je n’ai trouvé que lors de mon dernier passage sur vanilla alors que j’avais déjà tant fait la zone.
Dans les quêtes notables, il y a bien entendu la femme de Mankrik comme dit plus haut, la seule pour laquelle j’ai fini par aller chercher ailleurs et les quêtes des cavernes des Lamentations, particulièrement quand on est tdc, j’avais l’impression d’avoir découvert un grand secret quand je les avais trouvées
C’est là aussi où j’ai dompté les deux copains de Mazzranache. Ah et c’est là aussi où j’ai rencontré pour la première fois les scorpides et compris qu’on n’allait pas être amis.
Bref, une zone aride mais riche en histoires.
3615 Mylife des Tarides :
Mon compagnon, qui ne jouait déjà plus à wow quand on s’est rencontrés, avait juste repris un mois pour m’aider à y faire mes premiers pas.
Nos premiers personnages : taurens chasseurs tous les deux, la mienne étant herboriste/alchimiste (je trouvais ça tellement classe). Toute nos pérégrinations dans Mulgore ont été marquées par de nombreux « oh une plante, attends deux secondes » (par chance monsieur était patient).
Enfin vint le temps d’aller dans la prochaine zone : Les Tarides. Dès mes premiers pas j’ai adoré l’ambiance de la zone et le contraste avec Mulgore. On passa le camp Taurajo et « oooohhhhhhh une nouvelle plante, je la connais pas elle en plus » et me voilà toute bondissante vers ma plante. Entourée par deux Lézards tonnerre.
Il ne m’a pas fallu longtemps pour comprendre qu’il allait y avoir un petit problème. Bien sûr je les ai aggro tous les deux (ils étaient rouges voire tête de mort), bien sûr j’ai essayé de fuir, bien sûr j’ai aggro d’autres mobs (coucou les serpents volants), bien sûr je suis morte dans d’atroces souffrances. Et seule.
Parce que pendant qu’ils m’attaquaient, mon compagnon sagement resté sur le chemin regardait tranquillement la scène, à l’abri. Et au lieu de venir m’aider, il s’est contenté de me dire d’un ton docte : « alors tu vois ma chérie, quand tu arrives dans une nouvelle zone, pense toujours à regarder le niveau des mobs avant de t’aventurer hors des chemins, sinon c’est dangereux. » Gna gna gna (oui bon ok, je l’ai retenue la leçon au moins).