Réussir à piéger Sylmyn sans utiliser de café. Ca mérite un haut fait
Je suis presque sur que « Dk-féiné » ça passe
T’en a d’autres DK-lembours comme celle-là ?
Pas dk-lomnie s’il te plait!
J’ai un sujet entier d’inspiration pour ce genre de choses!
Je vais avoir besoin Dklmants le jour où tu parleras de Sylvanas, je le sens.
Bon sang il a like… On ne le reverra donc jamais
Il va errer dans le Néant jusqu’à la fin de la Création ou la fin du Vide, à toi de choisir.
…
J’hésite à demander lequel des deux représente le sujet du coup…
La fin de la Legion, je pense que c’est principalement le sujet.
D’accord mais c’est aux successeurs de créer un ensemble cohérent.
Quand on travaille dans une équipe c’est quand même la base.
Il auraient pu faire de Sylvanas un antagoniste d’une manière un peu plus subtile que de lui coller grossièrement toutes les tares possibles à chaque nouveau patch.
A ce stade s’ils pouvaient en faire une antisémite ils le feraient.
J’ai même plus la foi de continuer à dire que j’suis pas d’accord avec cette analyse de la cinématique.
Dommage ça m’aurait intéressé justement.
Mais de fait on sera d’accord je pense pour dire que la cinématique diffère de manère conséquente de ce qui se passe en jeu.
Ce qui n’y est par exemple pas le cas de celle de Legion qui met en image, un peu libre, le début des événements du rivage brisé.
La cinématique de BFA est à l’image de la cinématique Horde du rivage brisé, où tu vois Sylvanas qui est assez désemparée devant la situation. Elle voit tout le monde en difficulté et puis Vol’jin se faire embrocher finalement.
Je parle plutôt de la cinématique d’intro du Legion et pas de la cinématique qui clôture l’assaut et où Varian perd la vie.
Mais les 2 sont cohérentes ensemble, ce qui n’est pas le cas de la cinématique de BFA et de ce qu’on voit en jeu.
Concrêtement je me réexplique de manière brève, l’intro de BFA nous montre une Sylvanas chef de guerre rassembleuse, les événements in game nous montrent une diviseuse.
C’est surement jouissif pour quelqu’un qui veut absolument voir ce perso disparaitre mais autrement je trouve ça très mal fait.
Je l’ai bien compris, je commentais juste la chose en comparant les deux cinématiques, puisque je pense sincèrement que les deux peuvent aller ensemble. Cependant, tu as raison, après la cinématique de BFA, il n’y a aucune cohérence sur le traitement de Sylvanas.
Dsl j’ai édité pendant que tu répondais. On est peu près d’accord je crois.
Pas de souci, j’avais rien d’autre à rajouter sur ce que tu as édité.
La différence s’explique par le fait que le scénario se passe après la cinématique. Blizzard, à sa sortie, avait communiqué à ce propos. Certains se sont plains que la bataille ne se déroulait pas de la même façon, chose normale donc. Maintenant, je suppose qu’il n’est pas question de ça ici Snoopgob, mais bien de la direction prise par le jeu, alors que la cinématique augurait un conflit équilibré dans les enjeux. Oui, la cinématique ne traduit absolument rien de la guerre ni quoi que ce soit de l’état d’esprit des personnages… Ou même des développeurs eux-mêmes.
Rien de surprenant au final : TOUTE la campagne marketing de Battle for Azeroth n’était qu’un mensonge éhonté, une farce, des boniments pour attiser l’intérêt des joueurs envers une inimitié ancestrale. Lors, tout le concept de l’extension semblait tourner autour d’un total mayhem ultime entre les factions.
Et puis, deux patchs plus tard, deuxième tiers de l’extension à peine entamé : Rise of Azshara. Trêve entre les factions. Une honte. Une insulte.
Disons que je vois les cinématique pas forcément comme des événements qui se sont passés, mais comme des sortes de métaphores de ce qui va nous être proposé, c’est flagrant avec celle de Legion qui nous montre une collaboration en toute confiance entre Varian et Sylvy.
Et c’est bien ce qui se passe en jeu (la retraite coute à Sylvanas et ça se voit).
Là je trouve que le message de celle de BFA est en contradiction totale avec celui délivré en jeu.
Mais en effet quoiqu’il en soit la cinématique n’était qu’un exemple de ce que tu décris très bien sur le mensonge.
J’ajoute que même avant le patch d’azshara côté Horde je ne ressens pas vraiment la guerre contre l’Alliance, je ressens d’avantage la guerre civile… Un comble. Ils auraient pu appeler le début de BFA “Battle inside the Horde”.
Pour la faire courte, et sans entrer dans les détails, le découpage plan par plan de la cinématique à partir du moment ou Sylvanas cri m’avait laissé perplexe.
Lorsqu’elle fais son cri de Banshee, il y à un moment de flottement sur le champs de bataille, chacun s’arrête et l’observe. Ce qui se passe à ce moment la, c’est que Saurcroc secoue la tête, se relève, ramasse le drapeau à coté de lui et se met à faire un cri de guerre pour re-lancer la machine de guerre qu’est l’esprit de la Horde (sans mauvais jeu de mot, ça à toujours été le plus gros point fort de la Horde que de pouvoir sur un simple cri se remettre d’aplomb et repartir de plus belle.)
Disons que pour moi, il ne suivais absolument pas Sylvanas à ce moment la, il capitalisais juste sur le moment de flottement du champ de bataille. C’est une notion « connue » par les Historiens, puisque plusieurs grand stratège ont déjà admis s’être retrouvé dans une situation ou le temps semble ralentir pour tout le monde, sauf eux, et qu’ils prennent la décision de capitaliser sur ce momentum.
Donc, il ramasse un symbole, il devient le porte-étendard de la Horde, il repart au CaC alors que jusque la la Horde se faisait poutrer, et remotive les troupes avec le cri de guerre.
Rien à voir avec Sylvanas, si ce n’est qu’elle est à l’origine du dit momentum.
Si j’ai la foi, j’te chercherais le poste ou j’ai fais tout un long pavé la-dessus, il doit être page 4-5 du sujet « Genn responsable de Teldrassil? » sur l’ancien forum
Oui. Sylvanas devait rester le mouton noir, mais un mouton noir qui porte une sorte d’amour inconsidéré et surtout non partagé avec le reste des membres de sa « famille ».
Enfin, c’est du moins comme ça qu’elle nous à été vendu entre le ptr de la guerre des épines, la cinématique, et le reste.
Disons que les deux étaient envisageable. Je pense que les deux scénarios étaient prévu depuis le début, et qu’ils se gardaient une porte de sortie.
… Plus subtile, la porte de sortie.
Merci, interprétation intéressante.
Mais au final on a quand même un Saurcroc moins déprimé que celui in game, et une Sylvanas qui essaie de motiver les troupes plutôt que de les bombarder.
Disons que les deux étaient envisageable. Je pense que les deux scénarios étaient prévu depuis le début, et qu’ils se gardaient une porte de sortie.
… Plus subtile, la porte de sortie.
Si la porte de sortie était vraiment subtile, ça serait bien.
Pour le moment on sent venir Sylvarrosh mais ça serait vraiment bien qu’ils nous proposent quelque chose de plus inattendu et intéressant (et cohérent surtout).
En parlant du momentum durant la cinématique, ce que l’on avait vu à l’époque de sa sortie et les diverses spéculations nous montre une sacrée différence entre ce qu’on voit IG lors du scénario et avant cela, de ce qui s’est passé à Darkshore et Teldrassil (la cinématique avait été dévoilée bien avant il me semble), du coup on avait vraiment cette fameuse “faction pride” dont Ion Hazzikostas a parlé, que ce soit coté Horde ou Alliance. Mais après ce qu’on voit IG tout ce qui se passe durant la cinématique (et les suivantes) est sacrément remis en question et la faction pride en a pris un gros coup (coté Horde du moins)
Et comme l’a dit Sylmyn (je crois ), la cinématique se déroule avant le scénario de Lordaeron, le PJ débarque après la grosse charge et le masse rez d’Anduin, c’est du moins ce que j’ai compris.
En parlant de la cinématique d’intro, 2 scènes m’ont marqué et décrivent parfaitement ce que sont la Horde et l’Alliance :
Pour la Horde c’est clairement le cri de Sylvanas suivi de Saurfang et la charge du tauren + zappyboi et ce qui s’en suit, la furie sanguinaire et force primale.
Pour l’Alliance, c’est quand Genn rassemble les troupes et leur demande d’avancer avec les nains en soutien et les armes de siège, très discipliné et en rang.
(part revoir la cinématique une énième fois )