Merci pour les conseils
En fait je suis ouvert question styles, c’est surtout le format que j’apprécie.
12 Hommes en colère, je ne l’ai découvert que récemment, un chef d’oeuvre !
Toux ceux que j’ai vus dan ta liste sont des films que j’ai aimé. Je vais donc m’intéresser de suite aux 3 restants : l’ange exterminateur, hard candy et les chiens de paille.
@Ragetaurus je ne connais aucun des deux, et en jetant un coup d’oeil ils me font plutôt envie. Merci également pour les conseils
@Jtaimepas The Mist, j’ai adoré, la fin est tellement dingue
Comme toi: j’ai regardé à couteaux tirés sans réelles attentes et j’ai passé un super moment.
Très léché, très propre, pas un p’tit film indé en tout cas.
Ils ont fait un remake du crime de l’orient express aussi il n’y pas longtemps, dans la même veine, plutôt sympa.
1 mention « J’aime »
Il y en a un qui a pas mal fait parler de lui sur Netflix récemment : La Plateforme
Idée intéressante, c’est assez prenant mais la fin peut décevoir
Il y a évidemment ces films cultes que tout le monde a vu : Alien, The Thing, Shining, Reservoir Dogs…
D’autres assez anciens et qui restent des valeurs sûres, comme La Corde ou 12 Hommes en Colère déjà cité
Les petits plaisirs coupables : films plutôt dérangeants, pas dénués de défauts et qu’on a presque honte d’avoir aimé : Don’t Breathe, Exam, Malveillance, Chambre 1408, The Ruins…
Et mes coups de coeur : The Man From Earth, Cohérence, Ex Machina
Et une mention d’honneur pour Le Nom De La Rose, polar médiéval à l’ambiance froide et brumeuse
2 mentions « J’aime »
Vu Locke, un film atypique. Le thème de la vie qui bascule sur une simple décision, traité ici de façon vraiment originale.
La photographie est particulièrement réussie.
Spoilers
La façon de révéler progressivement les enjeux autour du personnage est habile et immersive.
Par contre j’ai trouvé que la seconde moitié du film n’avait finalement plus grand chose à dire, et avait tendance à s’étirer un peu en longueur. Une fois les conséquences actées, licenciement, famille brisée, ça s’attarde un peu trop sur certains détails comme le match de foot ou les arrangements logistiques par exemple. C’était évidemment important de développer ça pour montrer que le personnage est tiraillé entre sa conscience professionnelle et le besoin de répondre de la meilleure façon possible aux différents enjeux familiaux, mais ça donne une impression de remplissage par moments, et j’aurais aimé que le film continue à surprendre comme il le fait si bien pendant la première partie.
Cela dit, au final je n’ai pas vu le temps passer. j’ai passé un bon moment, merci pour la suggestion 
1 mention « J’aime »
Coucou 
Tous les films que vous avez cités sont bons à très bons 
La fin de The Mist est terriblement difficile en émotion mais le reste du film est un peu dans la ligné du film évolution (David Duchovny, Julianne Moore qui est très amusant) en plus sérieux mais je ne suis pas plus rentré dedans que ça.
The Mist, j’essaierai.
Un autre huis-clos dont j’avais déjà parlé : Un Été à Osage County. Un film avec pléthore de stars (Meryl Streep, Benedict Cumberbacht, Julia Roberts, Ewan McGregor, et d’autres). Vraiment pas le genre de film, à la base, que j’aime. Mais alors là… Juste envoûtant.
Un début à la Six Feet Under : le papounet d’une famille qui meurt, et toute la famille qui se réunit pour l’enterrement. Tout se passe dans la maison familiale où vit la mère (Meryl Streep), et on assiste à un règlement de compte entre personnages d’une profondeur inouïe. Génial, vraiment.
Pour ce qui est de « La Plateforme », je l’ai vu, et j’ai beaucoup aimé (à voir en VO). Le cinéma espagnol est en train de réellement émerger avec Netflix. Il y a des pépites. Je pense que c’est lié au succès de la Casa del Papel (que je n’ai pas encore vu), un peu comme la Trilogie Millénium a lancé jadis, la littérature scandinave en France et en Europe.
1 mention « J’aime »
Oui, y’a une évolution dans le bon au niveau des prods netflix depuis peu. Ils ont injecté un pognon monstre aussi, en prévention de la déferlante disney+.
J’étais toujours très méfiant vis-à-vis des prods netflix. Des films tous un peu identiques, avec le même style, la même narration quelque soit le genre, et qui font pshhit à la fin. Mais ça va mieux dernièrement c’est vrai.
La Casa des papel c’est sympa mais y’a tellement de remplissage inutile. La saison 1, à un moment j’ai compris que les scènes de flashback étaient juste là pour augmenter la durée (c’est assez récurent chez netflix d’augmenter artificiellement la durée par du vide). J’ai commencé à les passer en accéléré et là c’était sympa.
Je me rappelle du déclic :
Y’en a un qui revient à la table, l’autre qui lui dit:
- t’es allé faire kk?
- bein oui.
- tu oses aller faire kk le matin et laisser ton odeur fétide dans les toilettes !?
Etc,etc… pendant cinq minutes
Là j’ai dit stop, on se moque de moi. J’ai pas regardé la saison trois, trop de vide.
Ps, on n’a pas le droit d’écrire kk normalement c’est dingue quand même.
Perso l’adaptation netflix de Death note ma définitivement fâché avec eux je ne veux plus en entendre parlé.
Et celle qui tiens leur compte twitter quesqu’elle ait malaisante…
Sorcerer de William Friedkin, remake du salaire de la peur. Une réfléxion sur le destin et la fatalité. Et des scénes d’une tension absolue.
Vraiment un film a voir
1 mention « J’aime »
Netflix il y a du mieux ces derniers temps, mais ils faut vraiment qu’ils arrêtent de mettre la minute SJW en tête de liste de leur cahier des charges. Surtout si c’est pour la rentrer au forceps avec la subtilité d’un 33 tonnes.
2 mentions « J’aime »
ouaaah, je m’absente quelques jours et le topic « ce jeu est truqué » est fermé !!! c’est quoi le délire ?
2 mentions « J’aime »
Si tu veux avoir des réponses, je te propose de venir faire un tour à La coupe dorée. C’est un endroit sympa
3 mentions « J’aime »
ok merci pour l’info Deesse, ca fait plaisir de voir qu’on a tout de même un nouvel endroit où se réfugier 
En vrai le topic aurait déjà dû être fermé 10 fois quand tu voit le nombre d’engeulade qu’il y a eu dessus.
1 mention « J’aime »
lol c’est sûr mais bon, où place-t-on la jauge pour définir ce qui est tolérable sur un forum ?
Car entre un débat un peu enflammé, houleux et une bonne engueulade, il est parfois difficile de faire la différence
Merci pour cette suggestion, j’ai passé un très bon moment.
Comme tu l’avais simplement mentionné dans la causerie autour des huis-clos, je ne m’attendais pas du tout à ce genre de déroulement, et la surprise fut de taille
Spoiler
Et ce fut même une très bonne surprise, puisque j’ai toujours été adepte de ce genre de film où « ça part en vrille », ou qui sonde les plus bas instincts de la nature humaine : Fargo, Chute Libre, Funny Games, U-Turn… sont parmi mes films préférés.
Et c’est d’autant plus percutant quand on ne sait pas à quoi s’attendre, ce qui était le cas.
Du coup j’ai l’impression de m’être rattrapé sur un classique du genre, c’est qu’il est plus tout jeune le pépère !
1 mention « J’aime »
Et bien vois-tu, ça me fait super plaisir, surtout que de ceux que j’ai cité que tu n’avais pas vu, c’était vraiment celui à voir.
Peckinpah c’est pas n’importe qui et je te félicite de ne pas t’être arrêté au côté « vieux film ».
Si tu aimes les films qui partent en sucette et du genre « must see », là, je pense à « délivrance » de John Boorman (pas n’importe qui non plus) avec Burt Reynolds. C’est pas un huis clos mais c’est un peu le film fondateur du… J’en dis pas plus si tu ne l’as pas vu.
1 mention « J’aime »
Délivrance vu et approuvé
Après avoir découvert 12 Hommes En Colère, on est définitivement vacciné contre ce genre d’à priori
2 mentions « J’aime »
Coucou
Après avoir vu Delivrance, tu n 'en sort pas indemne pour deux raisons :
Film génial qui même s’il a vieilli dans l’image, il est toujours aussi dur dans les actes 
1 mention « J’aime »
Boua il n’a pas vieilli délivrance, le film fondateur du revenge movie.
Je voudrais revenir sur l’ange exterminateur.
Bunuel était ami avec Dali, et ensemble ils voulaient développer un forme de cinéma surréaliste. Ensemble ils ont fait un film muet très particulier : le chien Andalou. Certains d’entre vous ont peut-être déjà vu cette image d’un rasoir tranchant un œil ; c’est dans ce film (pour dire que le gore australien n’a rien inventé).
Bref, donc toujours à vouloir casser les codes, dans l’ange exterminateur Bunuel ne donne pas de raisons à l’enfermement de ses protagonistes. Ils ne peuvent juste pas sortir d’une pièce ouverte.
On est dans huis clos authentique, où il va se délecter de progressivement transformer la bourgeoisie en animaux.
Un film de 1962, en noir et blanc qui n’a pas vieilli et est toujours aussi efficace et malaisant.
Le problème étant d’en trouver une copie de bonne qualité.